« derrière l'écran »

PSEUDO/PRÉNOM ∞ le piou piou bleu ça sera bien .
TU VIENS D’OÙ ? ∞ bazzart le grand (:
IMPRESSIONS ∞ superbe
AVATAR ∞ Jennifer Lawrence.
AUTRES ∞ Choisir a été dur mais je tente quand meme le scénario de Peter (:

prénom ∞ Damaris Elyon. Deux appellations qui peuvent paraitre peu commune, l'influence littéraire de mon paternel à certainement une pointe de finesse dans l'idée. Quoi qu'il en soit elle les porte le plus simplement du monde.; nom ∞ Lincoln. Strictement rien à voir avec l'un des célèbres présidents des Etats-Unis. C'est juste une formalité car de nos jours ce patronyme est très courant.; âge ∞ Vingt-deux années au compteur, un peu plus que la majorité américaine mais cela e veut réellement dire que nous sommes tous des adultes sages et responsables.; date de naissance ∞ Un certain vingt-neuf février, un jour que l'on retrouve pas tous les ans. ; lieu de naissance ∞ La jeune femme a vu le jour à Kelso.; métier/études ∞ Damaris ne s'est jamais réellement intéressée aux long parcours et cursus des études, elle ne se sentait pas en accord pour y parvenir. Pour autant son adoration et sa passion pour la lecture lui a permis de trouver un job dans une petite librairie.; situation financière ∞ Elle vit au jour, et subvient à ses propres besoins. Nous dirons qu'elle est issu d'un milieu relativement modeste.; statut civil ∞ Célibataire, les bienfaits de la solitude lui apporte un train de liberté qu'elle n'est pas pret de lacher donc elle est célibataire.; groupe ∞ Adhmad.; qualités ∞ communicative, calme, rationnelle, endurante, calme, ingénieuse, honnête, sensible, gourmande, soucieuse, loyale, intuitive, attentive, débrouillarde.; défauts ∞ narquoise, prend la fuite quand c'est nécessaire, silencieuse, mystérieuse, impulsive, lunatique, versatile, moqueuse, indépendante, solitaire ; loup ∞ modu il y a quelques années par un loup-garou.; rang & meute ∞ C'est loup Oméga solitaire.

EMERGENCE OF MEMORIES ∞ La vieille cabane de ton oncle au fond des bois. Un tas de bonnes comme de mauvaises surprises, pour autant cette vieille bicoque représente désormais ton seul refuge en attendant quelque chose de meilleur, mais tu sens comme un sourire se dessine sur tes lèvres. Allongée sur le dos sur un lit de fortune, tu regardes avec précaution le plafond de vieux bois qui retiennent l’humidité de la pluie de la nuit précédente et à cause de cette dernière tu n’as pas pu trouver le sommeil. Celui qui se veut réparateur, celui qui se veut salvateur à l’esprit. Malgré tout tu ne veux pas fermer les yeux parce que tu ne veux pas vivre de nouveau la vision de la disparition sans précédent de ta famille car même après plusieurs années l’encre du souvenir reste douloureuse. Tu penses une seconde, plus une deuxième avant de laisser tes paupières se refermer. Ton souffle est calme et reposé laissant ainsi le sommeil avoir raison de ta personne. Les pensées de ta mémoire tourillonnent encore et encore pour te ramener au printemps de tes huit années, une période où tu cours encore après Jamie parce qu’il veut jouer à chat perché et que c’est ton tour d’être ce petit félin sauvage et farceur. Elle continuait de courir après son jumeau lorsqu’un fumet de senteur brûlée attira son attention. La fumée s’évaporait doucement bien qu’à une vitesse remarquable pour l’époque. Alors les deux enfants que vous êtes à cette époque s’échangent un regard inquiet et silencieux avant de descendre à l’étage pour retrouver vos parents. Seulement les flammes ont gagnées du terrain sur l’étage du bas, et les voix coutumières de vos parents émergent du capharnaüm de chaleur et de désastre. « Jamie, tu dois emmener ta sœur loin d’ici tu m’entends ! Dépêche-toi Jamie ! ». Ta figure maternelle hurle de nouveau pour réitérer les mêmes propos plus fort encore avant que le petit brun aux reflets de cuivre ne réagisse. De ton coté tu es figé sur place, les prunelles azuréennes fixaient sur le visage de ton père qui hurle sous l’ascension des flammes qui parcours son corps. Ce ne sont pas des cris de victoire comme il le faisait lors des matchs de baseball à la télévision, non c’était des cris de douleurs et des cris d’adieux dans la déchirure. Ton frère tousse, et tu finis par ressentir des picotements le long de ta gorge qui te font également tousser à ton tour. Tu mets une main devant ta bouche et tu cris en voyant tes parents périr dans les flammes. « Maman ! Maman ! ». Mais elle n’entend pas ta petite voix cristalline implorer sa présence auprès de ton être. Elle vous adresse alors à toi et à ton frère ainé de quelques minutes un signe synonyme de sortir d’ici, mais tu continues de pleurer en voulant la rejoindre. Vous toussez tous les deux encore une fois, et ton frère saisit ta main avec toute la force dont il est capable. Il te dire derrière lui, il te traine presque de force vers l’escalier arrière de la maison pour trouver une issue possible face aux flammes qui grandissent encore et encore au fil des secondes qui s’écoulent. Tu as du mal à suivre la cadence de son rythme et tu tombes sur les genoux. Jamie s’arrête face à ta chute, et te caresses les cheveux avec rapidité avant de te prendre dans ses bras pour te protéger. « Tout va bien se passer Damaris, je te le promets. ». Malgré son jeune âge il te semble si mature et si confiant que la seule chose à faire c’est de le croire et de lui faire confiance comme tu l’as toujours fait. Tu montes sur son dos et il te tient les jambes pour ne pas que tu tombes. La fumée grisâtre est épaisse et il est difficile pour vous de respirer à plein poumons. Cependant au bout de quelques minutes, une lueur s’ouvre sur le jour et une fois la porte de derrière franchit vous respirez tous deux le grand air, alors que le corps de Jamie poursuit quelques pas avant s’effondrer à même le sol sur l’herbe. Tu te pousses alors en toussant et en prenant le visage de ton frère entre tes mains. Il est blême, et très faible. Ta vision se brouille, obtenant alors une vision floue et en l’espace d’une minute tu te retrouves prise en charge par les pompiers venus prêter mains fortes pour sauver les victimes. « Jamie ! Où mon frère ?! S’il vous plait dites-moi où il est mon frère ! Il est un peu plus … ». Tu continues de tousser, tu sens perdue et tu as peur de ne pas le retrouver. Un jeune homme avoisinant la trentaine la couve d’une expression emplit de regrets et de tristesse. « On doit te conduire aux urgences petite, allez viens ma grande. ». Sa voix est rassurante et sécurisante mais cela ne t’empêche pas de t’obstiner à savoir où et ton jumeau. Le pompier te prend dans ses bras alors que tu cherches à descendre pour repartir chercher ton frère. « Je veux voir mon frère, il était avec moi en sortant et …. ». Le loisir de terminer sa phrase ne se fera pas. Une douleur écrasante se masse le long de ta colonne vertébrale telle une chaleur cuisante. Un cri s’échappe d’entre tes lèvres, et des larmes salées maculent ton visage de porcelaine. Soudainement te rouvres les yeux, au moment présent celui d’aujourd’hui. Ton rythme cardiaque est saccadé, et une pellicule de sueur coule le long de ton front. Assise au bord du lit, tu tentes de reprendre de la constance en passant une main dans tes cheveux et tu respires plus profondément. Tu restes un moment-là à ne rien faire, puis tu te lèves en glissant une main sous ta chemise en bas de ton dos. Et alors tu sens la cicatrice de brulure sous ses doigts. Tu es une survivante, un montre à croc, un être nocturne emplit de regrets mais tu continues de survivre en dépit de tout.

WHEN TWO WISHES COLLIDE ∞ Les autres enfants de l’orphelinat jouent avec une insouciance que tu ne sembles plus connaitre, et quelques part tu les envies de cette candeur qui t’échappe. Tu soupires une première fois et tu reprends la lecture de ton livre car il n’y a que cela qui te permet de prendre le large et de faire la différence entre la réalité et la fiction. Le conte du petit chaperon rouge te raconte une aventure palpitante et dangereuse à la fois mais tu te l’imagines en ajoutant des touches de couleurs et des personnages qui parlent comme des oiseaux chanteurs ou encore comme les fleurs moqueuses d’Alice au pays de merveilles. Après tout ce ne sont que des images imaginaires, cependant tu aimes pouvoir forger un monde qui sera à ton image et non pas à l’image que te renvoi la réalité car elle est bien trop dur. Tu t’apprêtes à tourner une nouvelle page lorsque tu sens la présence d’une personne plus grande que toi s’asseoir à tes cotés. Il est élancé et sa morphologie musclé et son regard de sombre et moqueur te laisse présager qu’il vient te cherche querelle. Un petit moment s’écoule avant que tu le regardes directement dans les yeux pour comprendre qu’il n’est pas venu ici pour les ennuis. Au sein de l’orphelinat il y a plusieurs sortes de groupes ceux qui se font marcher sur les pieds et qui ont peur des brutes épaisses, ceux qui cherchent à dominer les plus jeunes et qui trouvent cela très drôle et ceux qui comme toi qui désirent rester invisible en attendant l’heure pour quitter l’institution de l’Etat. Le jeune garçon doit avoir une ou deux années de plus que toi, et il croise les bras sur ses genoux avant de te lancer un petit clin d’œil qui finit par t’arracher un rire amusé. « Tu es plus jolie quand tu souris tu sais. Je me nomme Priam ! ». T’indique-t-il en te présentant une main en guise de salutation. Ton regard se pose sur cette main tendue, et cette dernière cherche peut être le lien, un lien auquel se rapprocher, et après une petite hésitation tu prends l’occasion de la saisir. « Et moi Damaris. ». Votre poignée de main échangée scelle alors le début d’une amitié protectrice et entendue. Tu apprends qu’il a deux années et que tout comme toi à l’époque il a perdu ses parents dans la série d’incendie du printemps 1998. Un parcours qui te sembles commun, un parcours autour duquel une certaine admiration fait son petit chemin et alors Priam prend la place du frère que tu as perdue quelques années auparavant. Alors une fois que tu es en âge de quitter le lieu de ta dernière résidence, c’est tout naturellement que tu t’installes en compagnie du jeune homme dans un appartement au centre de la ville de Kelso. Tu finis par comprendre que tout à une signification dans la vie, et Priam t’avoues avec une certaine prévenance sa véritable nature. Cela ne t’effraie pas bien au contraire, une poussée d’adrénaline soudaine te pousse à vouloir recevoir ce don que ton camarade de toujours peu t’offrir. « Une fois que la morsure sera faite, tu ne pourras plus jamais revenir en arrière Damaris. Pour certains c’est une bénédiction et pour d’autres c’est une malédiction alors ne prend pas cette décision à la légère. ». Ses yeux sont accrochés à ceux de la jeune blonde qui semble boire ses paroles. Pour elle c’est une occasion de forgé une nouvelle entité, d’être un nous au lieu d’être uniquement seule. « Je sais, et j’en suis consciente Priam. Mais si je te le demande c’est parce que j’ai confiance toi. ». Ton affirmation et ton expression finissent par le convaincre de te rallier à la cause. En tant que loup de sang, il peut te transformer, et c’est en partageant une partie de chacun que vous pourrez de nouveau construire. Au fil du temps tu découvres que ce que tu as connu par le passé peut apparaitre bien différent et Priam ne fait plus exception à la règle. D’ailleurs il ne respecte plus les règles du jeu. Les autres membres de la meute alimentent une certaine animosité à ton égard car tu as les faveurs de l’Alpha. Un Alpha qui a gagné en assurance, en avidité de possession et en acte de vengeance. Percevoir l’existence de cette manière n’a jamais été dans tes habitudes et ce n’est aujourd’hui que les choses vont commencer. Une certaine douleur nait alors au plus profond de ton cœur, elle ne t’est pas inconnue car elle a la couleur des regrets. Regret d’avoir voulu devenir un enfant de la lune comme le raconte de nombreuses légendes. Alors quelques temps plus tard, tu prends la décision sans précédent de quitter la meute dans laquelle tu t’es épanouie durant une certaine période. Seulement rien ne va comme tu l’avais prévus et les menaces que Priam prolifèrent contre toi ne sont pas à prendre à la légère et tu le sais aussi bien qu’un enfant qui fait une bêtise. Tu le sais, et tu ne plaisantes pas avec cela bien au contraire, bien trop consciente de la situation tu vas trouver refuge au sein d’une ancienne cabane dans la forêt. Elle ne tes pas complètement inconnu car elle appartient à ton oncle, et face à cette constatation tu te laisses glisser sur le sol. Aucune larmes cette fois, tu as juste la réalité en face de toi celle d’être revenu au point de départ. Seulement cette fois tu ne compteras que toi, et uniquement sur toi-même. Il y a toi, et l’animal qui sommeille en toi à chaque nuit de pleine lune.

REVERSE SITUATION ∞ C’est un beau roman, c’est une belle histoire. Cependant seulement la négation se conjugue à ta propre histoire. Ce n’est pas un beau roman et cela n’a rien d’une histoire mais d’une réalité à laquelle tu ne peux échapper. La veille au soir tu étais menacé par celui qui t’avais engendré d’une certaine manière, menacé par celui que tu voyais comme ta seconde famille celle qui tu avais perdue voilà bien des années. Priam n’avait pas supporté ton départ, il ne pouvait concevoir que toi l’un de ses fidèles – en particulier celui qui avait ses préférences – ne lui fausse compagnie pour un choix de vie en solitaire et pour des raisons qui lui sont bien propre. Les menaces qu’il avait proliféré n’étaient pas des paroles en l’air, tu savais de quoi il était capable mais également qu’il tiendrait ces propos verbaux même si cela devrait être son dernier acte. Tu te souviens encore de cette soirée, cette fameuse nuit où la dernière des Brisbane a perdu la vie avant d’arracher à son tour le dernier souffle de vie de l’Alpha qu’était Priam. Tu avais entendu des bruits de hurlement non loin de ton nouveau logis, et tu pouvais à la fois percevoir via ton ouïe le souffle court de la jeune chasseuse. Elle était déterminé, téméraire et aventurière. Un visage vengeur et concentré : elle savait parfaitement ce qu’elle faisait. Des mouvements synchronisés : elle savait tout bonnement que ses gestes étaient aussi précis que la vision des loups garous lors d’un soir de pleine lune. Vivace et malicieuse, telle une ombre qui passe. Voilà les mots qui te venaient à l’esprit lorsque tu voyais Emma Brisbane et pourtant tu l’avais prévenue quelques heures auparavant, prévenue qu’elle devait laisser tomber face à Priam. Tu tournes une fraction de seconde la tête vers le nouveau hurlement de la bête qui plombe la forêt dans une ambiance peu louable à l’humain, puis te mets à courir en direction de l’écho qui raisonne au cœur des bois de la ville de Kelso. Emma est grièvement blessée, Priam semble à bout de forces, au bord du gouffre. Tu sais au fond de toi que ces images ne sont que les prémices de mort commune et imminente. La chasseuse envoie une dernière balle en direction du loup, ce dernier tombe quelques secondes plus tard. Tes pupilles virent à une couleur ocre et tu t’approches du corps de ton ennemi naturel qui convulse légèrement. Le souffle de la condamnée est de plus en plus saccadé, et alors elle te lance une œillade emplit d’un silence mystérieux. Ton visage sera sans doute le dernier qu’elle prendra pour témoin de sa vie sur terre. Tu prends sa main dans la tienne en prenant légèrement appui sur tes jambes, et ses yeux embués de larmes discrètes se figent dans un moment qui pourrait durer. Un soupir t’échappe alors pour lui dire combien tu es désolé, puis tu fermes ses prunelles avant de lâcher sa main et de prendre ton chemin. Bercé par les bruits de pages qui défilent sous les yeux des jeunes lecteurs, tu esquisses soudainement un sourire instinctif aux commissures de tes lèvres car ce bruit coutumier te rassure. Cette nuit-là est bien loin derrière toi et pourtant à chaque fois que tu viens travailler ici tu ne peux cesser d’y penser. Et pour toute vérité tu remets la faute entière sur le frère de cette pauvre Emma. Ta dernière conversation a été plus que révélatrice entre vous deux et cette situation n’est pas pour te déplaire car après tout c’est dans tes habitudes de prendre tout à la dérision, car tu es orgueilleuse et aussi fuyante qu’un soleil en plein hiver. Tu passes une main dans ta chevelure, laissant ton regard se poser sur la foule de clients qui vient de pénétrer dans la librairie. Puis soudainement tes prunelles s’accrochent malgré elles à ce regard mystérieux et de couleur de jais. Le frère de la dernière victime de Priam te fixe alors avec perspicacité mais impassibilité également. Tu sais Peter ne laissera rien au hasard et qu’il est ton ennemi car tu es ni plus ni moins qu’une bête à plus à abattre. Tu continueras à vivre ou juste à survivre quoi qu’il arrive. Après tout ce n’est pas une belle histoire, c’est juste une réalité qui te fait courir encore et encore.

Jolie fiche, j'aime beaucoup ta narration à la deuxième personne. Un style plutôt casse-gueule mais tu le maitrises bien. Et ton histoire est juste géniale



Afin de nous faciliter la tâche, nous te demandons de ne pas oublier d'aller recenser ton avatar dans le sujet spécifique. Une liste des métiers est disponible ici, va donc la consulter pour avoir un job et signale le. Si tu es un loup-garou, ta place dans la meute que tu as choisi doit être signalée ici. Et pour finir, tu pourras faire un tour du côté de la gestion des personnages pour demander des liens et des sujets