« derrière l'écran »

PRÉNOM ∞ Marine.
TU VIENS D’OÙ ? ∞ Grâce à bazzart.
IMPRESSIONS ∞ Tout est parfait ! Et les annexes sont terriblement bien faites.
AVATAR ∞ Julian Schratter.
AUTRES ∞ Je vous aime déjà.

prénom ∞ matthieu, ma mère étant française, a toujours souhaité que je rappelle cette origine par le biais de mon prénom; nom ∞ alloway; âge ∞ vingt-deux ans; date de naissance ∞ trente septembre; lieu de naissance ∞ paris; métier/études ∞ serveur dans un café, et étudiant en danse; situation financière ∞ aisée; statut civil ∞ célibataire; groupe ∞ baile aois; qualités ∞ altruiste, respectueux, attentionné, patient, et doux; défauts ∞ possessif, naïf, perfectionniste, bordélique, et inconscient; croit au surnaturel ? ∞ et pourquoi pas au père noël ?; rang ∞ mortel;

kelso 2010. Deux heures trente, je n'arrivais pas à dormir, je n'arrivais pas à conserver les bras de morphée autour de mon corps. Fatigué, je lâchais un long soupire, et me glissais sur le dos, mains déposées contre mon torse. Je fermais mes paupières, tentant de replonger à nouveau dans le sommeil. J'étais stupide de croire que je pouvais ainsi m'endormir. Je penchais mon regard vers la fenêtre, je réalisais que je n'avais pas fermé mes volets, et que la lune était pleine. Comme le disait si souvent mon père : nuit agitée, donc. Je jouais avec ma lèvre, contemplant le spectacle que m'offrait cette vision. Je décidais de me lever, j'avais envie de manger, peut-être que cela allait m'apporter du réconfort. Rapidement, je pénétrais dans la cuisine, et y découvrais ma mère auprès de mon père, ils semblaient tout deux surpris de me voir. Mon père saignait, au niveau de sa nuque ; ma mère le soignait. Qu'est-ce qu'il se passe ? leur demandais-je tout en ouvrant le frigo, j'en sortais déjà deux yaourts. J'attrapais une cuillère, m'asseyais sur le plan de travail, et regardais mes parents, toujours aussi choqués par ma présence. Je me suis blessé en allant chercher du bois me souffla mon père, j'en esquissais une légère grimace. Pas cool marmonnais-je alors. Pourquoi tu es allé en chercher à cette heure ? lui demandais-je, avant de lécher le papier de mon yaourt. Vieille habitude, que je possédais depuis mon enfance. Le feu s'est éteint me répondit-il, j'en haussais les épaules, c'était plutôt évident. Ils semblaient fatigués, épuisés, et pressés que je quitte la pièce. Pour la peine, je mangeais plus rapidement, mais m'assurais cependant de ne pas laisser de crème dans mes pots. C'est là que ma grande, et chère sœur fit son apparition sur le coin de la porte, cheveux ébouriffés, et lèvres tremblantes. Ses doigts se crispèrent en me voyant, et son corps s'affala sur l'une des chaises de notre cuisine. Qu'est-ce que tu fous là, toi ? me demanda-t-elle, de sa voix la plus douce. Je lui montrais alors les yaourts que je possédais entre les doigts, puis lui esquissais un sourire qui se voulait tendre. Un silence s'installa, un silence pesant me faisant comprendre que bien des mystères régnaient au sein de cette famille. J'en ai toujours été conscient, mais je n'ai jamais cherché à obtenir des réponses. Les histoires de familles, encore plus lorsqu'elles sont anciennes, peuvent vous alourdir la conscience ; j'avais envie de tous, sauf de cela. Nous devrions lui dire murmura ma mère, lui me désignant. De ? Que c'est Alice qui a blessé papa, et non le bois ? soufflais-je, avant de ricaner, bêtement. Elle était la seule que j'aimais emmerder, au sens propre du terme. La seule que je me permettais de juger, sans connaître l'exactitude de ses gestes. La seule dont je connaissais toutes les réactions, les sentiments, et humeurs. Et ta putain d'intelligence, c'est également en option ? me demanda-t-elle, tout en se relevant furieusement. Il est trop con pour comprendre ! souffla-t-elle à l'attention de mes parents. D'un geste brusque, elle alla frapper l'arrière de mon crâne, et quitta la pièce. J'en arquais un sourcil, surpris par cette réaction que je n'attendais pas de sa part. Elle n'as pas fait exprès, Matthieu m'annonça mon père. Vas te coucher maintenant, s'il te plait me demanda-t-il, avant de se relever à son tour. Suite à l'ordre parental, je ne préférais pas m'interposer, et quittais silencieux la pièce. Conclusion de cette excursion dans la cuisine : je ne devais plus écouté mes envies durant la nuit, je devais faire davantage à ma furieuse de sœur si je ne voulais pas qu'elle me blesse également la nuque, et je devais sérieusement penser à dormir plutôt que de tourner en rond.

kelso 2012. Je me glissais à travers la foule dansante, verre en main, amis à mes côtés. Un samedi soir sans sortie, n'était pas un samedi digne de ce nom. Marwin et moi, moi et Marwin ; l'inséparable duo. Lui faisait des études de politique, moi des études de danses. Deux parcours clairement opposés, qui ne nous empêchaient pas de passer de merveilleux moments ensemble. Il frappa ma taille avec son coude, et attrapa mon menton afin de me le diriger dans la direction d'une fille, cette fille. Ce n'était pas la première fois que je la remarquais ici, ce n'était pas la première fois que mon regard captivait sa silhouette. Elle était différente, et sortait clairement du lot de ces petites pétasses qui se pensaient originales, et envoutantes, mais qui se ridiculisaient plus qu'autre chose. Elle, elle dansait vraiment, semblait si vivante, pleine d'énergie. Je tendais mon verre à Marwin, et disparaissais déjà dans la foule. Je n'avais pas besoin de lui expliquer ce que je faisais, il allait comprendre. Mon corps rattrapa celui de celle qui me captivait. Mes doigts s'approchaient de sa taille, sans pour autant s'y déposer. Elle se retourna, glissa son regard contre le mien, et se laissa finalement emporter par le rythme que j'imposais. Nos corps se rapprochaient, s'unissaient. Nos lèvres se frôlaient, nos souffles s'accordaient. Ce n'était pas qu'une simple danse de courtoisie, c'était sauvage, sensuel, et accrochant. Vient la fin de la musique. Mon inconnu se recula, me salua, et se volatilisa. Cette femme, ou l'art de me frustrer, en quelques secondes.

kelso 2012. Je courrais, j'étais comme à mon habitude en retard - pour les première cours de l'année, ce n'était pas une attitude exemplaire. J'entrais dans le studio, et me laissais tomber sur le sol afin d'ôter mes chaussures. Madame Harper se contenta de me dévisager du regard, avant de m'adresser son habituel sourire compréhensif. Aujourd'hui, je vais vous faire travailler en duo, que j'imposerais. J'ai décidé d'associer des anciens élèves aux nouveaux, afin de vous obliger à prendre confiance en des personnes dont vous ignorez tout nous annonça-t-elle, de mon côté, je terminais de m'habiller. Une fois prêt, je commençais à me chauffer le corps, bien décidé à rattraper ce retard que je m'étais imposé. Vous vous rabattez toujours sur la facilité, en choisissant des partenaires dont vous êtes proches continua-t-elle. Le bruit de ses talons claquant sur le sol résonnait dans la pièce. Elle marchait, d'une manière qui lui était propre, majestueuse. Rapidement, elle désigna les binômes, ceux-ci se plaçaient déjà ensemble. J'étais le seul restant, et déposait mon regard sur ma partenaire. Je la reconnaissais aussitôt, mon inconnu. J'esquissais un sourire, malicieux, et allais me placer à ses côtés. Je lui tendais ma main. M'accordez-vous cette danse ? lui demandais-je, souriant. Elle se releva, sans utiliser cette main que je lui tendais pourtant avec générosité. Elle me poussa avec son coude et s'installa auprès de la glace, prête à écouter les instructions de madame Harper. Détends-toi lui soufflais-je, tout en me posant à ses côtés, bras croisés contre ma poitrine. Cette année débutait merveilleusement bien.

Ah quelle jolie fiche J'aime beaucoup l’interaction entre Mattieu et sa sœur, ça promet de péter des bulles si tu prévois de la faire en scénario La phrase Cette femme, ou l'art de me frustrer, en quelques secondes. m'a tuée Donc je te valide avec plaisir et je me permet d'ajouter que tu as trouvé la bonne réponse à la dernière question Et ma réponse est oui, j'attends la bague


Afin de nous faciliter la tâche, nous te demandons de ne pas oublier d'aller recenser ton avatar dans le sujet spécifique. Une liste des métiers est disponible ici, va donc la consulter pour avoir un job et signale le. Si tu es un loup-garou, ta place dans la meute que tu as choisi doit être signalée ici. Et pour finir, tu pourras faire un tour du côté de la gestion des personnages pour demander des liens et des sujets