Citation :

Il devait être dix-neuf heures trente ce jour-là, quand Arabella se décida à rentrer chez elle. Elle venait tout juste de se faire poser un lapin par son collègue de travail qui l’avait invité à boire un verre au White Swan. Cela faisait quelques mois qu’elle convoitait ce jeune homme. Lorsqu’il était venu lui proposer, elle avait été folle de joie. Il l’avait enfin remarquée. Elle ne pouvait s’empêcher de sourire. Ce sentiment de béatitude fût de courte durée lorsqu’elle, arrivée au lieu de rendez-vous, elle comprit qu'il ne viendrait pas. Elle n’avait eu plus qu’une seule envie : rentrer chez elle et oublier cette situation humiliante. Elle avait garé sa voiture, une jeep d’occasion, dans une rue voisine : Roxburgh Street, sur le parking du centre commercial. Des nuages noirs surplombaient la ville de Kelso, depuis le début de l’après-midi. Il faisait sombre pour un début de soirée. La pluie, d’abord fine, se dessina sur le goudron puis l’averse redoubla d’intensité. Heureusement, la météo avait annoncé que ce temps orageux était passager.
Dans la galerie marchande du centre commercial, les habitants étaient tous réunis pour commémorer la mort des victimes de l’incendie de 98. L’atmosphère était tendue, il n’y avait pas besoin de don particulier pour le sentir. Les loups et les chasseurs étaient réunis au même endroit, pour la première fois depuis quatorze ans. La foule entourait le maire, Don Gregory qui feuilletait encore son discours, dans l’allée centrale, pendant que son stagiaire, un jeune homme particulièrement maladroit, tentait de régler la hauteur du micro. Il se racla la gorge. Tous les regards se tournèrent vers lui. « Mesdames, Messieurs, l’incendie de Kelso datant de 1998, dont on se souvient aujourd’hui, marque la plus grande tragédie humaine que cette ville ait jamais connu. Je vous demande d’observer une minute de silence en mémoire … » Les éclairs se mirent à zébrer le ciel. La foule émit un mouvement de recul. Le maire, surpris, s’interrompit. Plusieurs flashs successifs déchirèrent le ciel. La foudre s’abattit. Les lumières des spots clignotèrent avant de s’éteindre. Tous étaient désormais plongés dans l’obscurité, dans un silence total. Ils espéraient sans doute, que se soit une coupure de courant passagère. Soudain, le toit verre de l’infrastructure se craquèle, les morceaux de verres s’échouent sur le carrelage froid, suivi de quelques choses de plus massif. Le générateur de sécurité est enfin actionnée. Quelques spots se rallumèrent en produisant une lumière faible. C’est dans un cri d’horreur que les gens découvrirent, gisant sur le sol, dans une petite marre de sang, le corps coupé en deux d’une jeune femme. Un meurtre. Arabella Kennedy, n’était pas comme le commun des mortels. C’était une louve, membre de la famille éloignée de l’actuel Alpha de la meute de la ville. Elle en avait fait partie, un temps, elle aussi, avant de la quitter après une énième déception amoureuse.

Il n’y a plus d’électricité. Si vous pensez pouvoir briser les vitres automatiques, vous vous trompez, elles font 65 mm d’épaisseur. Si vous pensez que le gardien va venir vous ouvrir les portes de secours, anormalement verrouillées, vous vous trompez encore plus, il est coincé dans l’ascenseur en ce moment même. Quant aux grilles des parkings souterrains, la fermeture automatique s’est effectuée à 19 heures 28 minutes et 57 secondes et elle ne se rouvriront qu’à 7 heures et 30 minutes et encore faut-il que le courant revienne car, quelques choses me dit que l’orage n’est en rien responsable de cette panne. Vous êtes piégés.

La rédaction du sujet commun m'inspire grave Fauve, bravo

J'adore ton texte Juste je pensais rajouter quelques lignes sur le discours du maire et quand genre il demande une minute de silence BIM le truc tombe du ciel *sort*

Vouip si ça t'arrange

Code:

<center><div class=fond><div class=titrepa>sujet commun ∞ explications </div><br>

<BLOCKQUOTE>→ Répondez de façon plus courte, claire et concise, la taille du rp ne doit pas dépasser la longueur de votre profil (sans compter le gif) .
→ Dans le cadre du sujet commun, des sujets privés entre membres sont autorisés.
→ Ne déclenchez pas, une autre guerre mondiale.
→ Pour toutes questions, contactez un des membres de l'équipe administrative, par MP. </BLOCKQUOTE>

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Code:

<center><div class=fond><div style="background: url('http://24.media.tumblr.com/tumblr_m7qyxgFoh01rzc4cro4_500.gif'); width: 410px; height:200px;" class="imagesc"></div><div class=titrepa>sujet commun ∞ piégés au centre commercial </div><br>

<BLOCKQUOTE>Il devait être dix-neuf heures trente ce jour-là, quand Arabella se décida à rentrer chez elle. Elle venait tout juste de se faire poser un lapin par son collègue de travail qui l’avait invité à boire un verre au White Swan. Cela faisait quelques mois qu’elle convoitait ce jeune homme. Lorsqu’il était venu lui proposer, elle avait été folle de joie. Il l’avait[i] enfin [/i]remarquée. Elle ne pouvait s’empêcher de sourire. Ce sentiment de béatitude fût de courte durée lorsqu’elle, arrivée au lieu de rendez-vous, elle comprit qu'il ne viendrait pas. Elle n’avait eu plus qu’une seule envie : rentrer chez elle et oublier cette situation humiliante. Elle avait garé sa voiture, une jeep d’occasion, dans une rue voisine : Roxburgh Street, sur le parking du centre commercial. Des nuages noirs surplombaient la ville de Kelso, depuis le début de l’après-midi. Il faisait sombre pour un début de soirée. La pluie, d’abord fine, se dessina sur le goudron puis l’averse redoubla d’intensité. Heureusement, la météo avait annoncé que ce temps orageux était passager.
Dans la galerie marchande du centre commercial, les habitants étaient tous réunis pour commémorer la mort des victimes de l’incendie de 98. L’atmosphère était tendue, il n’y avait pas besoin de don particulier pour le sentir. Les loups et les chasseurs étaient réunis au même endroit, pour la première fois depuis quatorze ans. La foule entourait le maire, Don Gregory qui feuilletait encore son discours, dans l’allée centrale, pendant que son stagiaire, un jeune homme particulièrement maladroit, tentait de régler la hauteur du micro. Il se racla la gorge. Tous les regards se tournèrent vers lui. « [color=olivedrab][b]Mesdames, Messieurs, l’incendie de Kelso datant de 1998, dont on se souvient aujourd’hui, marque la plus grande tragédie humaine que cette ville ait jamais connu. Je vous demande d’observer une minute de silence en mémoire … [/b][/color]»  Les éclairs se mirent à zébrer le ciel.  La foule émit un mouvement de recul. Le maire, surpris, s’interrompit. Plusieurs flashs successifs déchirèrent le ciel. La foudre s’abattit. Les lumières des spots clignotèrent avant de s’éteindre. Tous étaient désormais plongés dans l’obscurité, dans un silence total. Ils espéraient sans doute, que se soit une coupure de courant passagère. Soudain, le toit verre de l’infrastructure se craquèle, les morceaux de verres s’échouent sur le carrelage froid, suivi de quelques choses de plus massif. Le générateur de sécurité est enfin actionnée. Quelques spots se rallumèrent en produisant une lumière faible. C’est dans un cri d’horreur que les gens découvrirent, gisant sur le sol, dans une petite marre de sang, le corps coupé en deux d’une jeune femme. Un meurtre. Arabella Kennedy, n’était pas comme le commun des mortels. C’était une louve, membre de la famille éloignée de l’actuel Alpha de la meute de la ville. Elle en avait fait partie, un temps, elle aussi, avant de la quitter après une énième déception amoureuse.

Il n’y a plus d’électricité. Si vous pensez pouvoir briser les vitres automatiques, vous vous trompez, elles font 65 mm d’épaisseur. Si vous pensez que le gardien va venir vous ouvrir les portes de secours, anormalement verrouillées, vous vous trompez encore plus, il est coincé dans l’ascenseur en ce moment même. Quant aux grilles des parkings souterrains, la fermeture automatique s’est effectuée à 19 heures 28 minutes et 57 secondes et elle ne se rouvriront qu’à 7 heures et 30 minutes et encore faut-il que le courant revienne car, quelques choses me dit que l’orage n’est en rien responsable de cette panne. Vous êtes piégés. </BLOCKQUOTE>

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J'adore Pour la longueur des postes, on dit que ça dépasse pas la longueur du profil ? On faisait ça sur un de mes anciens forums et ça marchait bien
On détermine une date ?

Pourquoi pas mardi ?

On met sur la pa je pense


DIS DIS DIS !

OMG J'ADORE TON IDÉE *Logan, toi, moi, des menottes ça te dit ? *
Plus sérieusement, ça serait trop drôle ! Justement pas mal le truc des alarmes à incendie vu que la ville a un peu un passé dans les incendies meurtriers Pour faire les binômes je pensais à un tirage au sort, c'est mieux de laisser faire le hasard Et on pourrait donner des épreuves, genre ils sont attachés mais chaque binôme a une mission spéciale