Retrouvez toutes les dates des pleines lunes iciUn petit évènement aura lieu d'ici quelques jours... à vos claviers si vous voulez en être! La pleine lune est le 31 août et commencera à 15:57:45. Attention à vous petits loups! L’événement sera lancé mardi 28 août ! |
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| iagan ✖ i said no wolf powers. | |
| Auteur | Message |
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J. Iagan Hamilton hunter ✚ we're the killers
| Sujet: iagan ✖ i said no wolf powers. Dim 19 Aoû - 14:34 | |
| Julian Iagan ∞ Hamilton « derrière l'écran »PSEUDO/PRÉNOM ∞ Mags dans le monde du net. Sinon, c'est Margaux.TU VIENS D’OÙ ? ∞ Par un beau jour d'août Il est beau notre bébé IMPRESSIONS ∞ Objectivement ? C'est de la bombe !AVATAR ∞ Le sexy Matt Bomer AUTRES ∞ J'vous aime tous « i said no wolf powers. » prénom ∞ Julian est normalement son premier prénom, tiré tout simplement de celui de son grand-père, étant le premier des fils, il a eu l'honneur d'en hérité. Son second prénom, celui qu'il utilise depuis toujours pour tout est Iagan, bien plus appréciable à son goût ; nom ∞ Hamilton. Ca vous dit forcément quelque chose. Riche famille de Kelso, ayant élu domicile depuis bien des générations maintenant ; âge ∞ trente-quatre ans ; date de naissance ∞ le 06 décembre 1978 ; lieu de naissance ∞ A Kelso même ; métier/études ∞ fabriquant et un des propriétaires de l'industrie d'armes familiale ; situation financière ∞ aucun soucis de ce côté là. De part l'héritage familiale, mais aussi de part son activité, la famille Hamilton n'a pas de problème d'argent bien au contraire ; statut civil ∞ célibataire depuis bien longtemps, peut-être a-t-il parfois quelques aventures, mais ce n'est pas tellement sa préoccupation majeure ; groupe ∞ Baile Aois; qualités ∞ attachant, protecteur, intelligent, réfléchi, social ; défauts ∞ borné, rusé, impatient, méfiant, vengeur, sans coeur ; croit au surnaturel ? ∞ totalement, il est plongé dedans et son but est d'ailleurs de les détruire ; rang ∞ hunter; QUE PENSEZ-VOUS DE L'INCENDIE DE 1998 ? Un terrible accident. Voilà ce que tu en penses. Tu n'étais pas là quand ça c'est produit, non, tu étais dans une autre ville, plus loin, à mener ta petite vie loin de tout ce surnaturel qui te repoussait. Et voilà que tu apprends que cet incendie éclate, blessant des amis, mais aussi tuant des connaissances, proches et moins proches. Ta mère faisait partie de ces victimes. C'est eux, tu en es persuadé, ces bêtes sans âme qu'il faut exterminer sont la cause de tout ce mal. Tu le sais. SI VOTRE AMI VOUS ANNONCE QU'IL EST UN LOUP-GAROU, COMMENT VOUS RÉAGISSEZ ? (humain qui ne croit pas au surnaturel)/ COMMENT AVEZ-VOUS DÉCOUVERT POUR LES CRÉATURES A POILS ? (pour ceux qui croient) Les loups-garous, tu connais leur existence depuis toujours. Tu as grandi dans cet univers de chasseur, alors oui, tu les connais par coeur, que ce soit leur force comme leur faiblesse. Ta vie a été rythmée par ces bêtes à poil que tu détestes par dessus tout. Tu te rappelles encore de cette fois où ton grand-mère, Julian, a décidé qu'il était temps que tu saches absolument tout. Tu avais seulement quelques années, six, quelque chose comme ça, et depuis, tu vis avec. QUE PENSEZ VOUS DE KELSO ? DEPUIS COMBIEN DE TEMPS VOUS Y VIVEZ ? POURQUOI VOUS Y ÊTRE INSTALLÉ ? Kelso, c'est ta ville. Tu y es né, tu as vécu de belles choses, mais aussi des choses bien plus noires. Plus jeune tu as décidé qu'il était temps que tu partes d'ici, tu ne voulais pas de cette vie. Tu es donc sorti de l'autorité paternelle pour aller t'installer ailleurs. Au final, tu y es retourné, limite en rampant. C'est et ça restera ta ville. Tu comptes la protéger et exterminer tous ces monstres, c'est ce que tu dois faire, c'est le but de ta famille depuis des générations, tu ne comptes pas partie de ci-tôt. ÊTES-VOUS UNE PERSONNE SUPERSTITIEUSE ? QUE PENSEZ-VOUS DE CELLES QUI LE SONT ? Non, tu n'es pas superstitieux, si en plus de tout ce que tu sais, tu devais faire attention aux échelles, aux chats noirs, et tout ce qui s'ensuit, vaut mieux que tu te suicides immédiatement. Donc non, tu ne l'es pas, ce qui arrive n'est pas provoqué selon les agissements. Ce que tu penses d'eux ? Et bien, il leur faut tout simplement quelque chose en quoi croire. L'espoir fait vivre il parfait non ? C'est leur droit, même si tu ne penses pas la même chose. QUI EST LE/LA PLUS SEXY DU STAFF ? C'est moi le plus sexy du Staff, tout le monde le sait, même si personne ne le dit, hein. Et oui, même les vieux sont sexy d'abord, alors voilà, c'est Iagan, un point c'est tout. Même s'il faut avouer que le staff est orgasmique n'est-ce pas ? |
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J. Iagan Hamilton hunter ✚ we're the killers
| Sujet: Re: iagan ✖ i said no wolf powers. Dim 19 Aoû - 14:35 | |
| children of the wild ones Kelso, 1986. Tu les observes, sans un bruit, en même temps, tu n'as pas le droit de dire un seul mot. Du haut de tes huit ans, tu ne dois faire qu'écouter, et bien entendu, retenir. Loups-garous. Pleine Lune. Aconit. Tuer. C'est tout ce dont il est question dans les sous-sols de la grande bâtisse. Tu bailles, doucement. Toi, tu veux aller dans le jardin, au parc, jouer avec tes amis. Mais non, tu n'as pas le droit. Ce n'est pas une vie, et pourtant. « Iagan ? Iagan ? Vient en haut, s'il te plait. » Miracle, ou tout du moins, la voix de ta mère s'apparente à un miracle. Tu n'hésites pas longtemps, montes les marches quatre à quatre pour te retrouver dans le couloir avant d'atterrir dans le salon, observant tes deux parents. Tu avais été persuadé que ton père était en bas avec ton grand-père. Tu n'y fais pas attention. « Mon coeur, on a quelque chose à te dire. Voilà, tu vas devoir endosser un rôle très important dans la famille dorénavant. Tu vas être grand frère. » Grand frère. Oui, ta mère est enceinte, c'est ce que tu comprends immédiatement. De part ton éducation, tu es plus rapide que les autres, tu comprendsplus vite, et tu es aussi plus mature. Peut-être y a-il aussi un peu de génétique. Peut-être. En tout cas, tu vas être grand-frère, et cette nouvelle ne te déplait pas tant que ça. Au contraire, peut-être allais-tu avoir le droit à un peu de temps libre en plus ? Kelso, 1990. un dernier signe pour tes amis du collège avant de disparaitre dans la voiture venue te chercher. Evidemment, ce n'est ni ta mère, ni ton père au volant. Pour changer. Toujours un de ces larbins. Bref. Tu ne rechignes pas, tu as l'habitude, d'autant que tu sais ce que te réserve ton arrivée à la maison. A peine ton pied est-il à l'extérieur de la voiture noire que ton grand-père s'empare de ton petit corps et te bâillonne les yeux sans douceur. Tu tentes de te débattre, mais du haut de ta douzaine d'années, tu ne peux pas faire grand chose. Quand tu reviens à toi, tu ne vois rien - bandeau sur les yeux - et tu ne peux pas bouger. Tu calmes ta respiration, et te concentres sur ton ouïe. Qu'est-ce qu'il se passe ? Certainement encore un de ces entrainements débiles de chasseur. Tu n'es pas un gamin normal, tu ne peux pas prendre ton vélo et faire le tour du quartier. Non, toi, on t'enferme dans un vieille maison et t'attache, chronométrant combien de temps il te fautpour t'en sortir. C'est dur, abrupt, mais tu n'as pas le choix. Le bandeau s'enlève, et la vue revient à toi de manière légèrement inconfortable. Tu observes ce qui te sert de grand-père, avec ta petite mine de gamin de douze ans qui n'a rien demandé. Tu n'a même pas pu voir ta mère, ni ton petit frère qu'on t'avait déjà emmené à l'entrainement. « Montres moi que tu mérites le prénom de Julian petit. » Les yeux écarquillés tu le regardes s'en aller, te laissant dans cette maison lugubre, seul. Il faut que tu restes calme, comme ton père te l'a appris, ne pas céder à la panique, mais patience n'est pas ton second prénom. Tu t'agites dans tous les sens, sans arrêt, sans aucune pause. Des heures plus tard, tu arrives enfin à t'en sortir, après des crises de panique et d'angoisse incessantes. Il est là, il t'attend, te foudroie du regard. « Pathétique. » te lance-t-il avant de démarrer la voiture et s'en aller, te laissant dans cette sombre forêt où la nuit est maintenant tombée. Kelso, 1992. Ne pas faire de bruit. Surtout pas. Tes yeux sont grand ouverts, tu ne bouges plus, te concentres sur ta cible qui te fait face et qui ne t'a pas encore vu. Les autres ne sont pas loin, autour de l'Omega en question, mais tous attendent que tu fasses le premier pas. C'est ta première fois sur le terrain en tant que chasseur de tête. Ce loup-garou est donc considéré comme ta proie et tu te dois de le tuer, c'est ce qu'on t'a rabâcher toute cette journée. La corde de l'arc est maintenant tendue. Tu respires un coup, avant de bloquer ta respiration, et lâcher la flèche venant s'écraser dans la peau de l'être. Quelques secondes plus tard, un cru déchirant s'empare de la forêt quand que tu ne sortes une arme à feu, lui tirant un balle d'aconit en plein dans le torse. Tu trembles, bien trop, tu as peur. Oui, qu'il te saute à la gorge, qu'il te déchire chaque membre, même si tu sais qu'ils ne sont pas loin. Oui, pas loin, mais pas plus rapides que l'animal. Finalement, ton grand-père apparait à côté de toi, tu sais ce qu'il attend. Que tu le tues. Totalement. Entièrement. Il te tend une épée que tu n'as pas le droit de refuser, et pourtant, tu aimerais bien. Tu t'en empares et t'approches du loup-garou. Ne surtout pas hésiter. Tout sauf ça. Tu sais ce que tu dois faire. Le couper en deux, le trancher, pour qu'il se vide de son sang. Du haut de tes quatorze ans, tu trembles de toutes parts. Cependant, les gestes se font comme si tu avais toujours fait ça, tu en avais tellement entendu parlé, tu l'avais déjà vu aussi, alors c'était naturel. Trop naturel. Mais tu le fis, et le tua sans gène à première vue. Sauf que très vite, sans donner d'excuse, tu retournas chez toi, t'arrêtant sur le chemin pour te laisser tomber contre un mur et reprendre tes esprits. Tu avais une nausée incontrôlable, mais tu tenais le coup. Tu venais de tuer ton premier loup-garou, et malheureusement, tu avais l'impression que ça n'allait pas être le dernier, tu allais en entendre parler en plus. Avec tous les autres qui te demanderaient comment ça avait été. Kelso, 1995. Ton sac en main, tes clés également, et la majorité en poche depuis quelques mois maintenant, tu descends les marches de l'escalier et tu arrives sans encombre à l'extérieur de la maison. Merci les entrainements, tu sais comment filer en douce de chez toi maintenant. Super. Après la dispute d'hier avec ton paternel qui n'a même pas su prendre ta défense devant ton grand-père, tu avais décidé qu'il fallait faire quelque chose, non, tu ne pouvais décemment pas rester dans cette baraque, vivre cette vie, où souffrir est une règle d'or et où seule la phrase loup-garou règne en maitre. Certainement pas, alors tu avais décidé de t'en aller, fuir dans une autre ville, te détacher de ce surnaturel qui pourrissait considérablement ta sombre existence. Embarquant une des voitures, tu commences à démarrer, espérant que ça ne fasse pas trop de bruit. Ce n'est pas une voiture qui va leur manquer de toute manière, n'est-ce pas ? « Tu m'abandonnes, c'est ça ? » Tu sursautes à moitié, te retournant pour l'observer sur les sièges arrières. Ton petit frère était là, pratiquement les larmes aux yeux. Maintenant âgé de neuf ans, tu ne savais pas comment il avait fait pour se retrouver ici. Tu hallucinais à moitié avant de te reprendre. Tu ne voulais pas l'abandonner dans ce monde de fou, tu savais qu'il allait certainement prendre ta place, qu'il avait été légèrement épargné de part la protection de votre mère, mais maintenant que tu fuis, il va te remplacer. Tu t'en veux, mais tu cours à ta perte si tu restes. Quel gamin de dix-sept ans sait manier à la perfection les armes à feu ? « Non, bien sûr que non. Dis pas ça. Je dois partir, et tu l'sais. Je peux pas t'emmener avec moi, maman m'en voudrait à mort te de prendre, mais voilà. Je ... Je suis désolé tu sais. J'ai pas le choix. » Il te fixes avec ces petits yeux suppliants. Merde, tu n'as pas le droit de craquer, et tu sais très bien comment faire. Merci les entrainements. Encore. « Retourne te coucher maintenant. » Ton regard est dur, une fois encore, et il s'exécute, te laissant braquer et t'en aller vers une autre ville, loin de Kelso dont tu ne veux plus entendre parler. Tu en as marre de ce putain de surnaturel. Mais tu ne fais pas énormément de kilomètres, non, tu t'arrêtes non loin de la frontière qui délimitait les territoires des villes pour t'arrêter sur le bas côté et fondre en larme. Tu laisses ton petit frère. Tu laisses ta mère. Tu laisses ta famille. Tu laisses aussi Jelyan. Tout ça parce que tu es égoïste. Alors oui, tu craque. Une fois. Ca sera la première et la dernière fois. Tu te le promets. Portree, 1998. Le téléphone sonne, tu t'en empares, observes ton futur interlocuteur. Papa. Tu restes de marbres. Tu attends. Mais tu finis pas répondre. « Iagan, c'est moi, laisse-moi parler. Je sais que tu ne veux plus aucun contact avec nous, mais là, c'est différent, il y a eu un incendie. Un grave incendie et ... ta mère n'a pas survécu. Je suis désolé Iagan. » Pas de réponse. Tu restes muet. Tu se bouscules dans ta tête. Ta mère. Ton frère. Jelyan. Et tu n'étais pas là. « J'arrive. » C'est tout ce que tu réponds. Pas besoin d'en dire plus, tu n'avais plus le choix, tu devais retourner à Kelso. Maintenant. Quelques minutes plus tard, tu sors de ton petit appartement lorsque tu la croises. Elle t'observe, soucieuse, presque stressée. Qui était-elle ? Une jeune femme de presque ton âge, rencontré pendant les études, il y a maintenant deux ans de cela. Vous aviez été en couple, un petit moment, avant qu'elle ne décide de rompre sans aucune explication. Tu n'avais pas cherché à comprendre. Peut-être aurais-tu du ? En tout cas, elle est là. « Iagan, il faut que je te parle de quelque chose d'important. » Tu as juste envie de fuir, rentrer chez toi, tu sais quelle excuse donner. « Ecoute, la dernière fois, tu t'es barrée sans aucune explication, tu as de la chance, j'vais t'en donner une. Ma mère vient de décédée, alors je vais retourner à Kelso, je n'ai donc pas le temps pour tes petites affaires. » C'est clair, et il n'y a pas d'alternative, tu ne le lui en laisses pas et tu disparais aussi vite que tu peux pour rejoindre ta ville natale. Kelso, 2003. « Pourquoi t'es parti. Il y a sept ans. Pourquoi t'es parti sans rien me dire ? J'croyais qu'on était proche, qu'on s'entendait bien, j'pensais que ... » Tu observes la brune, tentant de décoder ce qu'elle tente de te dire. Jelyan. Une petite perle à laquelle tu t'es attaché malgré votre différence d'âge. Cinq ans. C'est beaucoup quand on est enfant. Mais maintenant, tu as vingt-cinq ans et elle dix-neuf, ce n'est plus grand chose et il faut dire que tu la connais depuis toujours, vous avez grandi ensemble. « Tu avais quoi ... douze ans ? Franchement, non, je n'ai pas vu l'utilité de te tenir au courant. » Tu lui lances un petit sourire, avant de passer ton bras au-dessus de ses épaules. Ta plus fidèle amie. Mais aussi ta plus précieuse coéquipière. Elle aussi fille de chasseuse, vous vous êtes parfois retrouvés dans le même entrainement familial. Depuis que tu es revenu, vous êtes comme les deux doigts de la main, et pourtant, c'est la première fois qu'elle te parle de ce sujet là. Etrange, mais encore une fois, tu ne cherches pas de signification, pas pour le moment en tout cas. « Tu sais que tu m'énerve Iagan ? » Kelso, 2011. Une arme à feu en main, tu la nettoie consciencieusement tout en écoutant les informations locales quand ton esprit est happé par ces nouvelles peu rassurantes. Ils sont revenus. Il n'y a plus de doute maintenant. Vous en avez trouvé plus que d'habitude depuis quelques mois, et avec ces nouvelles attaques, tu ne peux plus fermer les yeux, ils sont de retour à Kelso, ce qui signifie que ta vengeance va pouvoir se faire. Tu vas pouvoir venger ta mère, décédée dans cet incendie allumé par ces monstres. Ces bêtes qui ne méritent pas de vivre. Tu es maintenant bien content d'avoir eu autant d'entrainements plus jeune, tu comprends leur utilité, et tu as été idiot de tout lâcher, de toute abandonner alors qu'ils avaient eu besoin de toi. Oui, tu t'en veux. Et oui, tu vas te rattraper, te venger. La nouvelle génération de chasseurs est là. Encore plus renforcée, plus forte, plus intelligente, mais surtout avec une soif de vengeance sans norme. Sauf que ce que tu ne sais pas c'est que les loups-garous aussi veulent se venger de cet incendie. |
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Lennon J. Pevensie human ✚ we're the innocent
| Sujet: Re: iagan ✖ i said no wolf powers. Lun 20 Aoû - 14:04 | |
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J. Iagan Hamilton hunter ✚ we're the killers
| Sujet: Re: iagan ✖ i said no wolf powers. Lun 20 Aoû - 14:06 | |
| Ma rousse préférée Oui oui, c'est noté sur mon calendrier, j'ai déjà tout prévu Ce n'est pas le genre de choses que je compte oublier |
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| Sujet: Re: iagan ✖ i said no wolf powers. | |
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| | | | iagan ✖ i said no wolf powers. | |
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